En monologuant, comme d’hab, dans ma tête, je me suis rendu compte qu’instinctivement, on devient tous m’en foutiste.
La volonté de bien terminer jusqu’au bout une tâche, la volonté de s’opposer à une erreur et de la corriger, l’envie de changer le monde, les autres et même l’envie d’avancer n’appartiennent plus au quotidien.

Bizarrement, ça me contamine, je deviens moi-même m’en foutiste, en perdant le goût des choses, le goût du défi ou celui d’exister.

Le moi gagne du terrain sur l’autre… et qui cherche trouve !