Je viens de visionner le tant attendu thriller “Syriana” avec les fabuleux George Clooney, Matt Damon et Jeffrey Wright.

Un thriller d’actualité où l’on se perd au début pour comprendre le message du film. Le message de la course machiavélique après le pouvoir pour contrôler le pétrole du golfe Persique par tous les moyens.

Je suivais depuis peu, en silence - ce qui m’est habituel -, la situation alarmante que vit le Liban et le Moyen-Orient en général…
Je n’ai pas cru, au début, que cela allait dégénérer à ce point… Tous les indices penchent vers une future guerre… Ce qui rend la situation de plus en plus délicate…

J’ai une de ces envies… l’envie de tout plaquer contre le mur.

L’envie de prendre tout mon savoir-faire, le boulot, l’argent, le travail, les femmes, l’informatique, ma tête, ma vie, toute la merde qui m’entoure… de les prendre, les mixer, malaxer en un moule, le coller contre le mur et de cibler mes fléchettes dessus.

Que répondre à un responsable qui t’annonce que l’effort que tu as fourni pendant une année ne sera pas rémunéré ?
Que répondre à un responsable qui annonce indirectement que le travail fourni n’est même pas valorisable ?
Que répondre à un responsable qui n’arrête pas ses interminables bla-bla administratifs pour te faire comprendre qu’il te met de côté, non pas parce que tu es incompétent, mais parce qu’une personne incompétente assise derrière un bureau climatisé avec un téléphone qui ne sonne presque jamais n’a pas bien fait son travail bureaucratique ?
Que répondre à un responsable qui veut te dire qu’il ne te paie pas, surtout lorsque tu as des projets à moyen terme qui dépendent de ce financement ?
Que répondre à un responsable qui te prend pour un enfant alors que six mois auparavant, il t’encensait pour t’avoir parmi son équipe d’enseignants ?

dido - white flag
i know you think that i shouldn’t still love you, or tell you that.
but if i didn’t say it, well i’d still have felt it
where’s the sense in that?
i promise i’m not trying to make your life harder
or return to where we were
i know i left too much mess and destruction to come back again
and i caused nothing but trouble
i understand if you can’t talk to me again
and if you live by the rules of “it’s over”
then i’m sure that that makes sense
and when we meet which i’m sure we will
all that was there will be there still
i’ll let it pass
and hold my tongue
and you will think that i’ve moved on….
i will go down with this ship
and i won’t put my hands up and surrender
there will be no white flag above my door
i’m in love and always will be

_ moi je prononce les i … i
_ ih, monsieur, les i sont toujours prononcés i … !
_ non, je parle des i, et non des i …
_ beu ?
_ i … le i … c’est i, comme : un di trois …
_ …

mochekes nous propose d’organiser un meetup dans les jours à venir.
Pour le moment, il propose la date du dimanche 2 juillet à 19h dans le café “Metallica” du Cité Nasr.
Sachant que beaucoup de blogueurs résidant à l’étranger vont revenir pour les vacances d’été et veulent - peut-être - nous assister, ladite date n’est pas définitive et toute proposition (unanime) est la bienvenue…
À vous…

Hier, j’ai pris le train pour revenir de ma ville natale…
Comme toujours, passer plus de 7 heures dans le même wagon à regarder défiler les paysages, on se sent obligé tout de même d’observer les autres…

Et cette fois, une mère - que je salue pour son courage - m’a vraiment étonné…
C’est une mère asiatique, apparemment d’un corps diplomatique quelconque, qui voyageait avec ses enfants (un garçon et une fille âgés de 10 ans à première vue)…
Ce qui m’a vraiment frappé, c’est son énergie et son sourire protecteur pour rendre le voyage agréable à ses enfants.